La Santé. C’est la motivation.
La maladie a une intelligence; s’y soumettre, c’est en dégager le sens. Elle sert essentiellement à remettre sur le chemin de la santé.
Médecine conventionnelle et/ou médecine systémique?
Opposition ou complémentarité?
Les deux approches se combinent parfaitement, alternativement ou simultanément, chacune selon le besoin, bien entendu !
Utilisée en remplacement ou bien avec la médecine conventionnelle, la médecine systémique qui regroupe l’homéopathie, l’approche de la modulation systémique de la biologie et les approches alternatives, intégratives… est efficace en agissant différemment et à un autre niveau.
Elle traite le désordre qui est représenté par la maladie.
Alors que la médecine conventionnelle allopathique (allo = contraire) cherche à supprimer les symptômes par la prescription de médicaments, ou par la chirurgie, etc., l’approche systémique interprète ces mêmes symptômes comme le signe d’un mécanisme de défense, d’adaptation ou d’alerte, et, dans la mesure où ils ne sont pas excessifs, elle les respecte.
Elle agit dans le sens des réactions adaptatives de l’organisme pour les accompagner. Elle aide à retrouver le sentier de la santé.
La médecine de la maladie a de merveilleux succès à son actif, en particulier dans la chirurgie, la traumatologie, l’urgence et la réanimation, la cancérologie, etc.. Elle est irremplaçable aujourd’hui.
Les deux médecines se complètent admirablement.
Restaurer un maximum de capital santé
L’être humain vit, chemine et s’adapte depuis des dizaines de milliers d’années avec une étonnante efficacité en construisant ainsi une trajectoire de vie dans la Création de Dieu.
C’est pour cela que la consultation se dépose sur une page blanche, vierge, sans préjugés, pour accueillir les mots, les images, les vécus, les comportements du patient.
Et c’est aussi pour cette même raison que le traitement sera le plus individualisé possible.
Si la personne se dérègle, si elle n’est plus en accord avec elle-même et avec son environnement, ou se perd dans sa vie, apparaît un inconfort. Cet inconfort est le symptôme qui vise à la remettre sur le chemin perdu.
Chacun d’entre nous résout ces perturbations le plus souvent inconsciemment tout seul.
S’il n’y arrive pas, le médecin peut l’y aider: soit simplement en l’accompagnant dans la relation thérapeutique, ou bien, il va devoir restaurer ses mécanismes physiologiques déréglés, donc physio-pathologiques.
Cela peut se répercuter sur tout son être depuis le physique jusqu’au spirituel, en passant par le psychique et le relationnel.
Cela est aussi le vrai sens de la prévention, qui intervient très en amont de l’apparition du stade le plus précoce de la maladie. La prévention cherche à ramener le risque relatif de maladie à son minimum qui est 1.